Curieux casse-tête et guérison d'un béguin
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urieux casse-tête et guérison
d’un béguin – Tranche de vie - Ce n’était qu’un tout-petit-150-pièces
minuscule qui ne prit qu’une cinquantaine de minutes à assembler… J’écris
ça pour le concept du cinquante faisant suite à quarante, prélude à la quarantaine.
Tant qu'à écrire pour ne rien dire!
J’avais chez-moi, cette
miniature depuis la fin de l’été dernier. Une folle équipée avec Jeune Sœur Chérie
nous avait conduit jusqu’à St-André d’Argenteuil, par un beau samedi mi-sept-embryon-aire.
L’arrêt gourmand à la boutique
Station 210 nous en avait mis plein
l’estomac et vidé les poches!
Le cylindre de plastique avait
patiemment attendu tout ce temps, sur la tablette du vaisselier. Le temps que
je décrète qu’était venu le bon moment pour étendre les pièces devant moi.
Comme je n’avais plus rien à me
mettre sous les doigts… ce fut fait hier, en deux temps 150 mouvements!...
J’aime le message qui y est
inscrit : « Écoutez votre voix intérieure » … comme si j’avais
tendance à l’oublier…
Justement…
… cette voix intérieure m’a
signifié hier de mettre un terme à un béguin vivotant depuis trop de mois. Sagesse
devant l’impensable. Faut ben un moment donné, que je retombe sur terre. Après tout, y'a
toujours ben des câlines de limites à ce que peut, la visualisation…
Ceci étant dit, pour les
prochains jours, je replongerai dans les alentours de cette rivière du nord, La
rivière sans repos de Gabrielle Roy.
Cela, pour une xième fois…
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