En attendant

 Parce que je m’absente quelques jours, voici une suggestion pour les abonnés de Netflix et/ou cinéphages autant-que-moi : le film Maudie.

Je l’avais vu en novembre 2016 à Rouyn-Noranda (cette ville enfouie sous les vapeurs d’arsenic) alors qu’il était présenté au prestigieux Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue (FCIAT).

Sans surprise, il avait remporté le lauréat de la 35e édition.

J’avais été touchée par l’histoire vraie de cette femme, Maud Lewis, néo-écossaise née Dowley, atteinte dès son plus jeune âge, de polyarthrite rhumatoïde. Ostracisée par ses pairs, elle semblait vivre repliée sur elle-même alors qu’elle…

… Je vous laisse découvrir sa vraie personnalité…

Étant depuis le début de l’été, devenue une addic de Netflix, je me suis laissée tenter par un deuxième visionnement. La magie a opéré, et c’est avec grand bonheur que j’ai retrouvé Maud et son Everett de mari, sur fond de paysage (ne vous méprenez pas comme moi) terre-neuvien.  

Et tout comme en 2016, j’ai laissé échapper quelques larmes…

Peintre d’art naïf (interprétation perso), faisant fi de l’opinion locale et tenant tête à l’homme qui finira par faire partie de sa vie d’une manière ou d’une autre, son histoire est empreinte de détermination, de liberté d’expression, d’assurance, de confiance, d’amour de l’art. Tout cela dans une invraisemblable simplicité volontaire.

Comme quoi vivre entouré de rien, avec rien d’autre que la passion, ne prive en rien d’accéder à la vie rêvée…

Autres suggestions:

-      Lunana: A Yak in the Classroom

-      The man from Toronto

-      Trees of peace

À bientôt!

10 juillet 2022

 

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