Froidure sans poudrerie
8h00 - Nez dehors: le vent s’engouffre par les minuscules ouvertures laissées par le foulard multicolore et me frigorifie en un instant.
Retour en-dedans.
Café au lait, rôtie de pain de ménage (celui que j’ai boulangé), fromage crémeux « Château de Bourgogne » (ce n’est pas du vin!) et salade de fruits faite maison : petit-déjeuner avalé, avec un comprimé qui, dans le meilleur des mondes, devrait soulager la douleur qui me taraude le mi-corps…
À nouveau, nez dehors : le temps ne s’est guère réchauffé. Je sais : ce n’est tout de même pas moins vingt-cinq! Alors quitte à sortir le duvet, une fois dans le verger ça devrait être confortable.
Me faudra juste une énorme dose de motivation…
14 :16 –
Le temps, une fois de plus, s’est foutu de moi! Je n’ai toujours pas remis le nez dehors. Par contre, j’ai apprivoisé à faible dose, le Pixel 4a après une autre heure passée avec Bell-mobilité-Maroc.
C’est sans réelle surprise si je n’ai que piètrement réussi à répondre à l’appel entrant de mon Jeune Frère.
Essais-erreurs (tous deux avec un « s ») en cours…
Également, je suis parvenue à dépeauter le magret-de-canard-laqué-dans-sa-sauce-soya-et-miel-parfumé-aux-épices et à en apprécier chacune des bouchées. Je l’ai accompagné d’une portion de gratin-de-choux-fleur-et-brocolis-en-béchamel, pour clore ce lunch de reine-du-foyer, avec un pouding-chômeur-à-l’érable.
Panse bien remplie / bedon rond: à nous deux "Dehors"...
Commentaires
Ah, le temps, quelle emprise sur chacun de nous.
Je vois le temps comme le mouvement du sablier qui s'écoule lentement créant amoncellement, laissant un vide.
Notre vie est régie par le temps. Celui passé, le présent et l'à venir...
Bon dimanche M. Le Factotum!