Quand Vladimir va, tout va
Cinéma.
C’est l’histoire d’une parisienne, je dirais dans la trentaine, enseignante auprès de jeunes enfants.
L’histoire d’une amoureuse aussi. Empêtrée dans l’illégitimité.
Une romance qui la mènera loin des sentiers battus.
Qui la sortira de sa zone de confort.
Qui finira par inspirer un tas d’honnêtes et braves gens, randonneurs de tout acabit.
Une équipée qui l’éloignera de tout, mais la rapprochera de l’amour.
Enfin.
Le seul, le grand, le vrai.
Elle s’appelle Antoinette. Comme Grand-Mère…
Il s’appelle…
Elle « voyage avec un âne dans les Cévennes ». Comme Robert Louis Stevenson l’a fait bien avant, en 1878, à vingt-huit ans, le cœur meurtri lui aussi, par un amour défendu.
Vous dire… comme j’ai aimé. Comme j’ai ri.
Bon… pas aux larmes, parce que ça m’en prend beaucoup, mais j’ai laissé fuser quelques éclats bien sentis.
8.5/10. En ce qui me concerne. J’ai adoré.
Et le film et le voyage imposé.
Vous dire… que ça ne ravive pas l’envie de randonner contrées éloignées, serait comme enfoncer la tête dans une pandémie…
Non mais…
IMPORTANT ADDENDA :
Ah oui! Concernant le billet du 1er avril : c’était… un POISSON
D’AVRIL 😉 Car bien sûr… jamais je n’aurais
osé m’inscrire pour participer à l’une de ces téléréalités…
Commentaires
La prédiction à l'avance de votre for intérieur.
Motus et bouche cousue! ;-)