Nomadland

 Une femme, un van, la vie.

Le travail qui permet de subvenir aux besoins essentiels.

L’exiguïté. L’amitié. La vraie. Celle qui survit au fil des saisons. Au fil des lieux.

Les rencontres.

La douceur enrubannée de mélodies, ou les mélodies nimbées de douceur.

Les frissons, le froid. Les pas solitaires.

Tout ça à cause d’une industrie fermée… Heureusement Amazone sera là…

J’ai aimé, comme j’aime ces films de répertoire. Ces films lents.

J’aime moins les sous-titres mais… il faut ce qu’il faut…

Je ne le conseille pas aux amateurs de pan-pan, de broum-broum, de pétarades… Plutôt à ceux-celles qui apprécient les cocons de solitude, de dénuement, de simplicité, volontaire ou non…

Voilà pour l’humble avis…

Nonobstant ceci qui n’exclue pas cela, quelle surprise de découvrir les rangées enrubannées de jaune, une sur deux, accompagnée de la nouvelle consigne de 3 sièges entre chacun. J’ai presque eu peur de ne pas me trouver une place. C’est tout un exercice pour un cerveau déjà alangui par la sombreur…

Finalement, le plus facile était de choisir le premier banc d’un début d’allée sur le côté. Impossible que quelqu’un d’autre y trouve place puisqu’il n’y a que 4 fauteuils. Personne à l’avant, personne à l’arrière.

Aura beau tousser qui voudra!...

"Douceur", St-Joseph-du-Lac, avril 2021

 

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