C'est à peine si

 

C

’est à peine si… – De ce temps-là, je continue de mordre à pleines dents dans mon quotidien, cela, malgré un tenace rhume de cerveau (Dieu merci, ça prouve qu’il est toujours de faction...), négativement-COVID-19, dois-je vous préciser d’emblée au-cas-yousque vous imagineriez le pire…

Depuis la troisième de septembre, (presque) tous les remèdes de grand-mère y sont passés pour en arriver à l’immuable réalité : laisser faire le Temps! Entre une surveillance « étroite » des symptômes, le plein d’air frais journalier et autres tâches-qui-finissent-toujours-par-remplir-les-jours-à-notre-insu, je poursuis sur une lancée de lecture.

Les auteurs et les titres se succèdent à un rythme (presque) effréné. Tellement que je me dis que je devrais débuter un petit carnet où je les noterais et du coup, (pourquoi pas), y laisserais une appréciation générale. Ça éviterait de demander à des proches : « C’est lequel de Dominique Demers que j’ai lu donc… dernièrement et que j’avais bien aimé? »… (Jeune Sœur Chérie me disait justement qu’elle venait de refermer la quatrième de couverture de « L’albatros et la mésange » qu’elle a a-d-o-r-é…). L’ai inscrit sur la liste!

En attendant…

… Hier, j’ai glissé dans l’univers du train perdu (sic) de Jocelyne Saucier. Ça promet. Sans contredit, j’y embarquerai à nouveau dès que j’aurai mis le point final à ce billet…

Ayant (une fois de plus) déplacer le mobilier (bon-bon… je sens se dessiner sourires moqueurs ici…) de façon à ce que je puisse un peu écornifler sur ce qui se passe sur la Principale tout en profitant de la luminosité naturelle pour lire confortablement installée jusqu’en fin d’après-midi, je dévore littérairement tout ce qui me tombe sous la dent… sous les yeux! À preuve, ce charmant bouquin d’Anick Claveau reçu-au-suivant de JSC!

Quand je vous dis que je les dévore…

… C’est à peine si… j’exagère !!! 😉

Bon début de semaine à tous!


 

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