Ces matins-là


 

 

C

es matins-là – J’avais mal reposé. Ces matins-là, je choisissais d’étirer la nuit jusqu’à une heure indue de la matinée. Exagération… si considérer qu’un lever après 8h l’était vraiment. 

Dans ma situation…

Je découvris qu’un fin film blanc couvrait partiellement la montagne quand je poussai de part et d’autre ce qui obscurcissait mes nuits. Ça me ramena ces joies éphémères de l’enfance quand, étourdis de bonheur, nous accueillions à mitaines ouvertes, la saison qui se dessinait.

J’avais bien choisi le moment pour la pose des caoutchoucs qui me permettraient meilleure adhérence sur les surfaces hivernales. Pandémie obligeant de me faire un Faux-Nouvel-Amant-Garagiste dans cette région d’adoption, j’avais rendez-vous avec le gentil (et beau… 😉) Monsieur Gig en fin d’avant-midi.

Alors que la pluie finissait de me convaincre de m’activer à l’abri, je profitai d’un regain imprévu d’énergie pour donner un peu d’amour au p’tit-logis. L’élancée ReadiVac® se chargea d’aspirer les poussières et je préparai psychologiquement les bas-blancs-frais-lavés à polir les planchers.

Y’a une règle flottante ici : tout doit participer à maintenir l’espace de vie habitable!

De tâches en appels, je rayai un à un les points-à-l’ordre-du-jour. Et comme le mot « blogue » en faisait partie, j’y étais. J’espérais publier le tout avant le point-de-presse de 17h. J’étais curieuse d’apprendre ce que nous réservait nos élus…

… pour le prochain mois!

À plus...


 

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