C'est la dernière, promis

C

’est la dernière, promis. - Je fais partie des quétaines qui passent leur temps à publier des photos de pommes!

Ce n’est pas de moi, j’ai lu ou entendu ça en quelque part hier!

En ce qui me concerne, je crois que j’ai fait le tour. Du verger et de ses fruits. Pour en parler et/ou les photographier : faut bien que j’en revienne un jour! De plus, la saison tire à sa fin. Donc dorénavant, je me contenterai d’y marcher.

Alors… c’est la dernière, promis! Mais promis-sur-la-tête-de-personne parce que, j’aio fâcheusement l’habitude d’oublier les promesses que je fais!...)

Si j’avais voulu, j’aurais pu profiter de ce que la nature-au-passage-défendu m’a offert tout au long de l’été. Ainsi, j’ignore pourquoi j’ai omis de vous parler des poiriers. Ou encore, des pruniers de Labonté de la pomme. J’aurais dû. Pour faire changement.

Et qu’en est-il de toutes ces grappes de mignons-raisins-bleus-surettes qui pendent un peu partout, indomptés, là où leurs fines lianes peuvent s’accrocher pour s’élever vers la chaleur? Vous en glisser un mot, étant donné que sans remords je succombe à chaque fois que je les frôle, n’aurait rien coûté. La vue de ces perles bleues me donne inévitablement, goût de vendange. M’est même venu l’idée! Du genre, si je ne pourrais pas (oui-oui : ici le « rais » aime le « si »!) m’en faire quelque breuvage alcoolisé potable???…

(… mais cette dernière est disparue aussi vite qu’elle m’était venue! Je ne commencerai toujours pas à compétitionner avec Mario Pelchat ou les Vents d’Ange !!! ... )

Sur ce et sur cette journée grise-de-pluie, je vous salue bien bas. 

L’épicerie n’attend plus que moi… 😉



 

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