Et si je parlais de « Frontières »

Prologue - Pas pire, pas pire; je me trouve pas pire! Pourquoi? Parce que… ceci…

1er et seul chapitre –

Profitant de la tonne de neige qui nous tombait dessus et après en avoir repoussé une bonne première quinzaine de centimètres, je décidai qu’il y avait là, matière à retourner au cinéma.  

Je savais que Guzzo, offrait des représentations du film « Frontières » mettant en vedette Pascale Bussières. Étant prête pour celle de 13h, je pris avec Johnny, direction Deux-Montagnes sur une 640 gadoueuse.

Dès l’entrée dans l’immense salle 12, deux hautes chaudières stratégiquement disposées pour recueillir l’eau du plafond dégouttant, m’accueillirent. Ça promettait! Tout en-haut des rangées de sièges, deux personnes prenaient place. Ça s’annonçait tranquille.

Pubs, bandes-annonces alléchantes défilèrent, puis le film commença.

Une belle campagne estrienne, dans un St-Armand dont j’avais à peine vu qu’une croisée et son garage lors d’une escapade à Sutton. Une ferme et son bois; des femmes aux abois; des cris de désarroi. Des tourments sous la pluie; des courses désespérées.

J’ai aimé. Mais pas au point de…

Cherchant à clarifier l’idée de ce que ces images m’avaient laissé en fond de gorge, je trouvai l’appréciation laissée par le spécialiste culturel de La Pressesuive de cette critique encore plus explicite de la spécialiste du Devoir

Épilogue - Avouez que je suis pas pire pantoute!... 😉

Addenda : Une autre saga à suivre dans les semaines à venir, sera celle de la famille Corb-Eille ayant pris demeure dans l’ancien nid du pignon de l’église. Ce matin, j’ai remarqué qu’il-elle avait commencé à couver… L’hiver s’efface tranquillement et la nature suit son cours…

 
"Saisissez-vous?", SJDL, 4 mars 2023


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