Le plongeur

 Je perds le fil du temps. Je suis allée au cinéma lundi. C’était encore février.

J’ai commencé à jeter des mots mardi matin. Pour tenter de clarifier mon ressenti suite au visionnement du film « Le plongeur ». Mais mardi s’est effacé sans que je ne puisse le retenir.

Mercredi a plongé tête première dans le milieu de semaine, sans pour autant me permettre de reprendre le souffle des mots.

Maintenant jeudi. Dehors il poudre. Je n’ai ni l’envie d’aller marcher, ni d’aller pelleter. Mais chose certaine, je retournerai au cinéma cet après-midi. Pour le nouveau conte pour tous « Coco ferme ».

Alors… Je dois pondre les premières lignes si je veux plonger dans les deuxièmes…  Je me lance…

Premièrement, en pleine salle occupée par neuf spectateurs m’incluant, à quelques reprises j’ai ressenti l’irrésistible envie de crier : « Nooonnn… Lâche pas!!!... ». Je suis sortie de la salle bouleversée par un trop plein de sympathie envers Stéphane. J’étais épuisée!

Mais y’a eu aussi, le bruit des chaudrons qui s’entrechoquent et les paroles qui choquent. Les visions de vie qui s’entremêlent et les nouilles qui s’en mêlent. Les batailles intérieures qui se chicanent et celles extérieures qui se débattent. Et y’a eu les heures de fin de shift trop arrosées, les pertes de contrôle, de temps et de patience…

Si ces mots ne vous convainquent pas d’aller le voir, vous trouverez l’avis d’un « professionnel » ici.

Demain je vous raconte « Coco ferme ».

Demain… Promis!

"Le plongeur", Deux-Montagnes, 27 février 2023

 

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