Crépuscule pour un tueur

Aube : première clarté du jour, annonciatrice de ces parcelles de renouveau qui se déposeront sur tapis de hasards…

Crépuscule : dernières lueurs du jour, où germent les incertitudes du lendemain…

Pas de crépuscule sans aube.

C’est comme, commencer grand, pour finir évanescent...

Ou, frapper fort, pour finir par se terrer…

Faire la une puis disparaître... Quelque part, incognito…

Je trouve difficilement les mots pour pénétrer dans le dur et sombre destin de Donald Lavoie. Je fais l’effort. Par habitude. Mais ce soir, peu par envie.

J’ai trouvé :

-      les scènes parfois difficiles à regarder; soubresauts devant l’inattendue. Suspense présent; quelques rires égarés.

-      j’ai trouvé ce film à la fois horrible et bien fait; impitoyable et touchant.

Durant les 106 minutes, temps qui m’a paru plus long, dans ma tête ne cessa de trotter l’idée me rappelant que ce à quoi j’assistais, étaient en partie, faits vécus.

Chair de poule…

Ce n’est pas le genre de film que je préfère. Mais je suis obligée de dire qu’il a beaucoup de caractère et n’a rien à envier aux hollywoodiens.

Humble avis…

J’ai déjà hâte de voir le film La cordonnière qui, sans aucun doute, sera dans un tout autre registre et beaucoup plus digeste pour moi…

 

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