Mon année Salinger

Le film. Une jeune finissante, Joanna, aspire à devenir écrivain. Elle est engagée dans une maison d’édition pour répondre aux lettres des admirateurs d’un vieil auteur, populaire mais inactif depuis les trente dernières années. 

La supérieure hiérarchique de Joanna est intransigeante et rigide.

Mais Joanna n’a pas écrit… son dernier mot.

J’ai aimé. Sans façon, je donne un 8/10.

Et un bravo à M. Falardeau!

C’était lundi dernier. Le jour où j’ai failli écrabouiller le nez d’un véhicule noir avec la porte côté passager du CR-V. Combat inégal. Déficit d’attention. Justement : attention!!!...

* https://www.journaldemontreal.com/2021/03/05/mon-annee-salinger-lelegance-de-philippe-falardeau

Et puis, il y a Louise Penny. Elle attend sur le fauteuil crème, que je la rejoigne dans son « Tous les diables sont ici ».

L’inspecteur Gamache est à Paris, avec femme et enfants. Et énigmatiques meurtres, bien entendu. 

Lecture en cours. À suivre.

* https://www.louisepenny.com/index_french.htm

Et il y a tous les autres, qui reposent à l’horizontal sur l’appui de la fenêtre nord, attendant sagement leur tour. Les Sobieraj, Desy, Bacon, Bürger, Jean, Josse, Blais sortiront de leur dormance en temps et lieu, quand la maîtresse sortira de sa léthargie et se remettra plus rigoureusement, à la lecture.

En attendant…

Depuis deux jours, on croirait avoir déjà les deux pieds dans le printemps. Il faut voir à changer les vêtements, ressortir les coupe-vent, alléger les bottes.

La neige défonce. Le verger a dit : « Désolé! Faudra repasser dans quelques semaines. » 

Semblerait qu’il va nous confiner au pavé… 

"Tu repasseras...", St-Joseph-du-Lac, mars 2021

 


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