Festival du film de montagne de Banff

 Lundi soir à St-Eustache, était présenté en salle la vingt-septième édition québécoise de la Tournée mondiale du fameux Festival du film de montagne de Banff.

C’est mon Grand qui m’a initiée à ce Festival il y a déjà quelques années.  Je me souviens de cette sortie « en famille », dans le grand Val-D’or. Depuis ce temps, c’est avec anticipation que je découvre annuellement les grands exploits physiques de ces audacieux (et souvent téméraires) sportifs du monde entier.

Salle Le Zénith - Tous les sièges étaient occupés (ou presque) par une foule hétéroclite, mêlant les générations Z, X, Y jusqu’aux baby-boomers auréolés de leurs cheveux gris et blancs.

Le présentateur, telle son habitude et avec doigté, enfila les uns après les autres, les synopsis des 10 films de 4 à 45 minutes devant être dévoilés. La projection débuta.

On déambula dans les méandres enneigés de l’Everest et on en profita au passage pour nettoyer ce que les innombrables explorateurs laissent de déchets derrière eux. Rien de gratifiant, je vous assure, à constater dans quel état sont laissés ces lieux…

On marcha sur une corde raide tendue entre deux montgolfières; on courut en montagne jusqu’à épuisement. On parcourut à vélo le coloré Mexico pour ensuite aller grimper/skier en haute altitude, le Karakoram au Pakistan.

On pédala avec Betty sur des pistes de vélo dans les forêts brumeuses de Vancouver. On faillit se noyer dans de titanesques rapides à l’Île de Baffin pour finir en wheelie avec un MacAskill déchaîné…

Si j’ai aimé? Honnêtement, moins que par les années passées. Peut-être ai-je vu trop de neige?...

Mais ça ne m’empêchera pas d’y retourner l’an prochain!

Abitibi, ça se passera par chez-vous à Rouyn-Noranda le 18 février, 19h 😉


 

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