M'entends-tu?
Comme j’ai aimé d’amour, la dernière saison de cette série tellement québécoise, tellement imprégnée de vraie vie, de vrais visages, de vraies réalités. Québécoises. J’insiste.
J’ai pleuré cette finale, où l’on constate sous tragédie, comment la résilience de certains, peut arriver à changer le destin de certaines. Comment l’amitié éternelle peut se perpétuer, malgré des gènes déficients.
Comment l’avenir peut se dessiner à grands coups d’épée déterminés.
Cette série aurait dû vivre sur une chaîne à grande antenne.
Humble avis. Sujet suivant.
Comme m’attriste tous ces conflits que j’arrive difficilement à démêler entre israéliens et palestiniens.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vainement essayé dans le passé…
Les images de ces tirs de roquettes aux nouvelles du matin, entraînant dans leur ciel, de longues éclaboussures noires.
J’essaie d’imaginer les gens, coincés dans ces éternelles chicanes de pouvoir non résolu. Leur ressenti…
Lire ceci… Ça aussi c’est plus que déchirant mais surtout incompréhensible pour la pacifique québécoise que je suis…
En lien, ce midi, j’irai au cinéma. Pas pour visionner une bande dessinée, mais plutôt un film de répertoire, « Le prix de la victoire », basé sur des faits vécus…
Je t’en reparlerai, Lecteur, Lectrice.
Entends-tu?
Commentaires
On joue sur plusieurs tableaux à la fois.