Jusqu'à la fin des mots

Une demi-journée par semaine, je prête main forte au service d’Aide alimentaire du village. J’apprécie ces sorties que je considère somme toute, comme sociales. Parce que… J’y croise semaine après semaine, les mêmes bénévoles, les mêmes bénéficiaires, la même sympathique Responsable avec qui je poursuis la tâche jusqu’à midi. Moment privilégié de partager avec cette Jeune Trentenaire au même prénom que ma Douceur ma Belle, souvenirs, réflexions, ambitions. La semaine dernière, dans l’attente de la clientèle, je lui racontai ( peut-être même radotai-je… ) la façon de fonctionner concernant mon alimentation. Premièrement, plus ou moins aux deux semaines, je choisis des recettes, m’assurant que je goûterai bœuf, poulet, poisson gras, tofu, pâtes et légumineuses sous une forme ou l’autre. Deuxièmement, je dresse la liste d’épicerie en fonction de ces dernières : revue des réserves, et ajout de ce qui manque pour les cuisiner. Épicerie. Troisièmement, j’ordonnance la préparation

  Ce matin, un petit spécial que je ne me permets pas souvent : je vous partage ce très beau texte de Brigitte Harouni, tiré du blogue « Bottes et vélo ». Sage et inspirante réflexion qui me rejoint beaucoup ces derniers temps.  Bonne lecture! S’exercer à automner J’ai toujours eu la profonde conviction que Dame Nature était notre meilleure enseignante. Aujourd’hui encore, en regardant les feuilles jouer dans les vagues du vent, je me laisse inspirer. Que puis-je apprendre de ces arbres flamboyants? Qu’est-ce que l’automne dans le cycle de ma vie? Je trouve que c’est en automne que les paysages sont les plus beaux. En automne, chaque arbre laisse apparaître une couleur qui lui est propre. Des tons de vert qui uniformisaient tout, on peut maintenant distinguer et apprécier les caractéristiques de chacun. L’automne de ma vie, est ce temps où je cesse de chercher à me conformer et à me fondre dans l’ensemble. Comme le pèlerin usé par les épreuves de son voyage, avec le temps et l

  Retour au cinéma ce mardi. Film à l’affiche : Falcon Lake  . L’intérêt pour ce dernier, provenait du fait qu’il avait été tourné en partie dans la petite municipalité de Gore, là où des Oncles, une Tante et l’un de leurs amis, avaient développé il y a plusieurs années de cela, un complexe domiciliaire rural. ( C’est aussi dans cette municipalité de la MRC d’Argenteuil que se trouve un joli petit sentier pour randonner : le Parc Denommé . Il n’y a pas de hasard… que des rendez-vous! 😉 ) Mais revenons à notre sujet : le film. Difficile pour moi d’en parler mais je résume en disant qu’il est un mélange de film de répertoire, de film québécois lent et nébuleux, baignant sous éclairage tamisé. On aime ou on n’aime pas. Perso, j’ai donné un 7.5 / 10 ( l’an prochain, promis, j’arrête de quantifier sur 10, les projets culturels… ). Certainement à voir, ne serait-ce que pour encourager le cinéma québécois. Par ailleurs… Hier soir tardivement, j’ai tourné la quatrième de couverture