Jusqu'à la fin des mots

C adeau inattendu, descendu de l’Abitibi – J’ai retrouvé le goût de lire. Et la capacité de le faire malgré quelques absences lunatiques apparemment normales dû à mon âge! Histoire d’hormones ou de neurones… Souvenir effacé de l’article lu sur le sujet. Ce matin, je parle d’un Quelqu’un que je ne connaissais pas, si ce n’est pour l’avoir brièvement entendu nommer comme étant un fan de notre Pellerin. Et vice-versa. Là encore, ne me souviens plus ni où ni quand, j’ai eu vent de ça. Peu importe. Depuis vendredi dernier, exit le vélo pour m’installer confortablement dans la chaise Ikea bleu nuit. Ou dans l’Adirondack rouge pétant. Sans culpabilité aucune de n’avoir à mon actif cette semaine, que deux pauvres périodes de mouvance, je tourne, l’une après l’autre, ce qui formera un 338 pages, remerciements inclus. Quelle belle découverte que le monde de cet auteur! Jeune Sœur Chérie, la donatrice, m’avait touché mot sur la recherche de son écriture. La beauté surt

C onfusions dans les règles de mon art – Concernant la COVID-19. Concernant le petit rorqual. Concernant l’écriture. Quelques dernières réflexions. Oui, vous avez bien lu : dernières. Parce que j’en ai marre de sentir ma vie envahie, dirigée, mêlée, surchargée d’informations diverses venant de toutes parts concernant la COVID-19. J’en ai marre que les conversations avec les amis ne tournent qu’autour de cette torrieuse de maladie. De cette épreuve mondiale. J’en ai marre de constater les différentes interprétations des règles à suivre, que les milliards d’humains que nous sommes, en font. Marre d’expliquer pourquoi il est important de porter le masque dans les lieux publics ou lorsque la distanciation sociale du 2 mètres ne peut être respecter. Marre de ne pas saisir les nuances dans l’application des consignes. Les câlins interdits : comment est-ce qu’un court contact, visages tournés côtés opposés , pourrait transmettre la maladie? Par vêteme

C onsidérations sur l’itinérance, forcée ou non – Ça peut arriver à tout le monde. La preuve!   Ouvrir la parenthèse : ( Ciel que je déteste ce mot : c-o-n-s-i-d-é-r-a-t-i-o-n! De ma vie, c’est celui qui a jeté en moi le plus de… consternation. Pour l’avoir reçu en plein visage un jour de septembre, l’avoir avalé de force et digéré seulement après plusieurs mois, c’est un mot que je cherche à exclure de mon vocabulaire. Sauf exception. Comme ce matin. ) Fermer la parenthèse. Parce qu’entre autres définitions ( 1 e action d’examiner avec attention; 3 e raison que l’on considère pour agir; 4 e estime que l’on porte à quelqu’un ), il y a la 2 e  : observations sur un sujet *. Quand j’ai vu ma réguine étendue sur le plancher de ciment ce matin-là, c’est le mot itinérance qui m’est venu à l’esprit. De là, le prendre en considération … Temps de pandémie. J’étais prise dans les Basses Laurentides avec une voiture chaussée de pneus d’hiver qui ne demandaien